Le suicide est l’une des principales causes de décès chez les jeunes, y compris en Suisse. La prévention du suicide est donc une priorité de santé publique et il y a un besoin urgent d’une stratégie nationale de prévention efficace. L’association STOP SUICIDE s’engage à travers différentes actions pour la prévention du suicide et la promotion de la santé psychique, notamment grâce à ses ateliers innovants qui consistent en un programme de prévention brève à destination des jeunes d’âge scolaire. Ses buts principaux sont de sensibiliser aux thématiques liées au suicide et de faire connaître les ressources d’aide disponibles. L’atelier couvre des sujets divers allant des informations générales sur les comportements suicidaires à la détection des facteurs de risque et des signes de détresse psychologique, ainsi qu’une présentation des différentes ressources d’aide disponibles.
Veille documentaire - Jeunes
Chaque jour, l’équipe de documentalistes du Rrapps sélectionne des informations fiables, valides et pertinentes dans l’actualité de la santé publique. Ces informations sont proposées ici, en cohérence avec les thématiques du Rrapps, mais aussi avec les parcours de santé (définis dans le Plan régional de santé 2018-2022) et les programmes et plans de santé nationaux.
Pour consulter la veille documentaire sur une thématique du Rrapps ou sur un type d'information particulier (Appels à projet, publications, outils pédagogiques), vous pouvez utiliser les filtres ci-contre.
Les différences en termes de santé au sein de la population sont importantes et suivent un schéma social clair: plus une personne est socialement dé-favorisée (faible situation sociale), plus elle a de risques d’être exposée aux maladies, aux atteintes à la santé et à un décès précoce. L’un des objectifs clés de la promotion de la santé consiste ainsi à renforcer l’égalité des chances et à réduire les inégalités en matière de santé.
La Coalition Interjeunes vient de publier sa première étude d’impact pour évaluer dans quelle mesure les organismes d’action communautaire autonomes jeunesse améliorent la qualité de vie des jeunes sur les plans de la réussite éducative, la santé, les loisirs et la culture, le tissu social, la participation citoyenne et les conditions socioéconomiques. Parmi les faits saillants, retenons que le travail de prévention de ces organismes fait en sorte que les jeunes sont mieux informés, ce qui les conduit à prendre des décisions éclairées en matière de comportements plus sécuritaires. Et les anciens, maintenant devenus adultes, considèrent à 87% que ces organismes leur ont permis de développer une meilleure estime de soi.
A la demande de l’Office de la Naissance et de l’Enfance (ONE), le RESO a réalisé une sélection de ressources consacrée au suivi de la santé des enfants en milieu scolaire avec un intérêt particulier aux approches et recommandations internationales. Des ressources essentiellement anglophones (avec une traduction libre en français des résumés ) et en libre accès y sont recensées. Au total, 22 ressources documentaires issues de la littérature scientifique et grise sont identifiées et subdivisées en 2 parties : la première partie aborde les différents constats et recommandations sur la thématique, la seconde propose des retours d’expériences, des actions et des outils pour améliorer le suivi de la santé des enfants en milieu scolaire.
Les impacts de l’utilisation d’appareils électroniques sont d’autant plus cruciaux durant les premières années de vie, tant sur le plan visuel que sur le développement cognitif et social de l’enfant.
Le Mouvement Santé mentale au Québec propose ce projet destiné aux jeunes de 12 à 25 ans. Il consiste pour les jeunes à laisser place à leur expression créative et à réfléchir sur quelques questions qui favorisent le développement de relations bénéfiques et authentiques. Les objectifs sont de sensibiliser les jeunes à la santé mentale positive, soutenir le développement de relations bénéfiques et authentiques, développer le pouvoir d’agir ensemble, favoriser l’échange entre pairs, reconnaître l’apport des personnes intervenantes et enseignantes et des directions d’établissements dans le développement de la santé mentale positive.
On sait aujourd’hui que le développement des connaissances et des compétences en alimentation, dès le plus jeune âge, génère un large éventail de bénéfices. Les projets pour enrichir la littératie alimentaire des enfants foisonnent d’ailleurs de plus en plus. Mais qu’en est-il des plus grands?
Tout savoir sur la campagne « C’est la base » lancée le 25 septembre 2023 par le Ministère de la Santé et de la prévention et Santé publique France. Diffusée jusqu’au 8 novembre 2023, elle vise à sensibiliser les jeunes et limiter les risques et les dommages liés aux consommations importantes d’alcool et de cannabis.
Alors que l’alcool est responsable de près de 41 000 décès en France par an et que les jeunes de 17-25 ans sont de plus en plus exposés aux risques de consommations excessives, le ministère de la Santé et de la Prévention et Santé publique France lancent aujourd’hui une nouvelle campagne d’information pour sensibiliser les jeunes aux risques de consommation de l’alcool et des drogues.
Une campagne nationale d'information a été lancée le 4 septembre pour sensibiliser à la vaccination contre les papillomavirus humains proposée dès cette rentrée à tous les collégiens de 11 à 14 ans. Plus de 32 000 élèves de 5ème sont concernés en Bourgogne-Franche-Comté.
Une campagne nationale de vaccination contre les papillomavirus débute à la rentrée scolaire 2023 dans les collèges pour améliorer la couverture vaccinale des filles et des garçons.
Dans ce contexte, l'ANSM met en place un dispositif de surveillance renforcée. Ce dispositif, en lien avec le réseau français des centres régionaux de pharmacovigilance (CRPV) et le groupement d'intérêt scientifique EPI-PHARE (ANSM-Assurance maladie), repose notamment sur le recueil et l'analyse en continu des effets indésirables déclarés par des professionnels de santé et des patients au système national et européen de pharmacovigilance.
Ce guide décrit ce que l’on entend précisément par participation et comment la participation d’adolescent-e-s dans la conception, la planification, la mise en œuvre et l’évaluation de projets de promotion de la santé peut se faire efficacement. À cet égard, la règle de base suivante s’applique: la participation est possible avec toutes les jeunes personnes, pour autant que les processus soient adaptés aux besoins et à l’âge, et méthodologiquement bien conçus.