Ce cahier de référence a été construit afin de soutenir et apporter des ressources aux enseignant·e·s et les acteurs de l'école qui ont un rôle important à jouer. Néanmoins, les principes développés peuvent aussi être utiles aux parents et à d’autres professionnel·le·s de l’éducation ou de la promotion de la santé en contact avec des adolescent·e·s. Le document est structuré en trois parties principales : d'abord des éléments de compréhension sur l’adolescence et la santé psychique , ensuite des principes pour la promotion de la santé psychique des adolescent·e·s dans le cadre d'interventions, enfin des pistes d'action dans un contexte scolaire.
Veille documentaire
Chaque jour, l’équipe de documentalistes du Rrapps sélectionne des informations fiables, valides et pertinentes dans l’actualité de la santé publique. Ces informations sont proposées ici, en cohérence avec les thématiques du Rrapps, mais aussi avec les parcours de santé (définis dans le Plan régional de santé 2018-2022) et les programmes et plans de santé nationaux.
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Santé publique France et l’Inserm publient aujourd’hui les résultats du 6ème rapport de l'Enquête nationale confidentielle sur les morts maternelles (ENCMM) pour la période 2013-2015. Cette enquête nationale permet de disposer d’une importante base de données quantitatives et qualitatives. Elle révèle que les maladies cardiovasculaires et les suicides sont respectivement les première et deuxième causes de décès maternels en 2013-2015. Les auteurs du rapport soulignent que la majorité des décès sont évitables et livrent les éléments du parcours de soin à améliorer au travers de 30 messages clés.
La prévention du suicide est un enjeu majeur de santé publique. C’est une priorité pour le ministère des solidarités et de la santé qui l’a inscrite dans l’action 6 de la Feuille de route santé mentale et psychiatrie de 2018. L’objectif de la stratégie nationale de prévention du suicide consiste à mettre œuvre de façon coordonnée dans les territoires un ensemble d’actions intégrées de prévention du suicide
La mise en place d’une ligne dédiée à la prévention du suicide constitue une réponse essentielle à l’une des problématiques de cette prévention : l’accès et le maintien du lien avec le système de soins des personnes en souffrance. C’est pourquoi la création du numéro national de prévention du suicide fait partie des actions portées par la mesure n° 31 du Ségur de la santé.
En France, en mars‑avril 2020, un surcroît de 27 000 décès (+ 27 %) est survenu, toutes causes confondues, par rapport à la même période en 2019, essentiellement en raison de la surmortalité provoquée par la Covid‑19. L’Île‑de‑France (+ 91 %) et le Grand Est (+ 55 %) ont été les régions les plus affectées. Les personnes les plus âgées, celles nées à l’étranger et celles habitant dans les communes les plus pauvres et les plus denses ont été les plus touchées. Le risque d’exposition au virus varie selon les milieux sociaux : ouvriers et employés ont plus souvent continué à se rendre au travail à l’extérieur, les personnes les plus modestes vivent plus souvent dans des communes denses et des logements surpeuplés. De plus, ces dernières souffrent plus souvent d’obésité ou d’une pathologie associée à un risque élevé de développer une forme grave de Covid‑19.
L’analyse de la HAS expose pourquoi tenir compte du sexe et du genre en santé. Elle formule 10 propositions issues de ces constats pour faire de la prise en compte de ces facteurs un levier d’amélioration de la santé des femmes, des hommes, des personnes intersexes et des personnes trans. Elle prend aussi l’engagement de progresser elle-même à ce sujet dans le cadre de ses missions.
anté publique France et l’Inserm publient aujourd’hui les résultats du 6ème rapport de l'Enquête nationale confidentielle sur les morts maternelles (ENCMM) pour la période 2013-2015. Cette enquête nationale permet de disposer d’une importante base de données quantitatives et qualitatives. Elle révèle que les maladies cardiovasculaires et les suicides sont respectivement les première et deuxième causes de décès maternels en 2013-2015. Les auteurs du rapport soulignent que la majorité des décès sont évitables et livrent les éléments du parcours de soin à améliorer au travers de 30 messages clés.
Quatre domaines sont ainsi analysés : les maladies dites féminines ou masculines où les codes sociaux liés au genre influencent, chez les malades, l’expression des symptômes et le recours aux soins mais aussi l’interprétation des signes cliniques chez les personnels soignants ; la recherche clinique et biomédicale où l’absence de prise en compte du sexe et du genre peut induire des biais dans les expérimentations et les applications médicales. A cela s’ajoutent les conditions de vie, sociales, économiques et environnementales, qui exposent différemment les femmes et les hommes à des risques de santé ainsi que de grandes lacunes dans la formation médicale sur le genre dans la santé, dans une sphère professionnelle où la parité est inaboutie et où l’accès des femmes à la gouvernance reste un enjeu de taille.
Des études récentes ont démontré les effets positifs de l’utilisation du vélo à assistance électrique sur la santé, des bienfaits durables au cours du temps, explique dans sa chronique Pascale Santi, journaliste au « Monde ».
Cette revue de la littérature porte sur des études sur les mesures physiques visant à empêcher les gens d'attraper une infection par un virus respiratoire. Les auteurs se sont intéressés au nombre de personnes ayant contracté une infection par un virus respiratoire et à la question de savoir si les mesures physiques avaient des effets indésirables.
Trois experts de la santé et des décisions publiques interrogent le niveau de défiance vaccinale au regard des stratégies d'action publique menées pour répondre à la diffusion de rumeurs et de contre-vérités.