Certaines mesures d'atténuation et d'adaptation au changement climatique peuvent accroître les inégalités (économiques, sociales, de genre...). Cela ne doit cependant pas justifier l'inaction climatique. Ne rien faire ne ferait que différer et aggraver les problèmes d'injustice sociale face aux effets du dérèglement climatique.
Veille documentaire
Chaque jour, l’équipe de documentalistes du Rrapps sélectionne des informations fiables, valides et pertinentes dans l’actualité de la santé publique. Ces informations sont proposées ici, en cohérence avec les thématiques du Rrapps, mais aussi avec les parcours de santé (définis dans le Plan régional de santé 2018-2022) et les programmes et plans de santé nationaux.
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Les cas annuels d’encéphalite à tiques augmentent en Europe. Potentiellement grave, cette infection virale, pour laquelle un vaccin existe, est à déclaration obligatoire depuis 2021. Que faut-il savoir ?
Depuis 1990, le nombre de personnes de moins de 50 ans chez qui un cancer a été diagnostiqué a augmenté de près de 80 % dans le monde.
La publication de ce rapport marque la fin du premier volet d'une expérimentation d'un programme probant suisse menée entre 2021 et 2023 en région Centre-Val de Loire.
Gulivers Campus est un projet de recherche inclusive, scientifique et opérationnelle, qui s’est penchée sur l’université comme lieu d’autonomisation, de démocratie et d’accès aux savoirs. La recherche constitue un socle pour un transfert de technologie dont la philosophie est l’utilité pour toutes et tous, et le développement social, économique, territorial. L’évolution des technologies bouleverse la visualisation territoriale. Associées aux méthodologies de co-construction, les innovations sociales et numériques apportent des solutions pour la compréhension, la conception, et l’inclusivité des espaces.
Définir les besoins pour la personne a toujours été, même si nous nous en défendons, une manière de justifier le bien-fondé de notre action qui pouvait de la sorte s’appuyer sur une légitimité devenue avec le temps scientifique et médicale, argumentée parce qu’objectivée. Soignant, éduquant, psychologisant, dirigeant, nous avions besoin de ce savoir pour savoir-faire, idéalement savoir- être. Pour autant, si cela a donné des résultats dans le mieux-être, mieux se sentir et mieux se comporter des personnes que nous accompagnons, cela a pu parfois créer des malentendus, voire dans des cas plus rares des effets toxiques. Pour le moins, nous avons mis un temps certain, appuyé par une évolution des lois et principalement celle dite de 2002-2, à prendre en considération les aspirations et les désirs de la personne accompagnée.
Plus neutre et moins stigmatisante que l’hôpital, la maison des adolescents accueille de manière anonyme tous les jeunes de 11 à 21 ans ayant besoin d’un suivi en santé mentale. S’ils sont de plus en plus nombreux, ils présentent aussi des situations plus lourdes.
Depuis le début de l’année, le rêve d’un vaccin thérapeutique contre les risques de récidive prend forme. Quatre essais cliniques aux résultats prometteurs doivent encore être confirmés sur un plus grand nombre de patients et dans la durée. Mais la course entre les laboratoires est bel et bien lancée.
La Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (DREES) publie une étude sur les personnes hébergées en centres d’hébergement début 2021. Elle repose sur l’édition 2020-2021 de son enquête auprès des établissements et services en faveur des adultes et familles en difficulté sociale (ES-DS).
Le 22 novembre 2023 aura lieu un colloque à distance organisé par le Réseau santé environnement (RES), la Ville et Eurométropole de Strasbourg, le Centre national de la fonction publique territoriale sur la thématique des perturbateurs endocriniens. Il s'adresse aux agents et élus des collectivités ainsi qu'aux acteurs de la santé, du social, de l'économie sociale et solidaire.
Cet article tente de comprendre les difficultés rencontrées par des jeunes désignés handicapés mentaux, scolarisés dans un lycée professionnel, à être reconnus capables et à s’inscrire dans un processus d’autonomisation. Ces jeunes font face à un soupçon d’incompétence et à un processus d’infantilisation qui tiennent moins à leurs incapacités réelles qu’à la manière dont ils sont catégorisés.
Définir les besoins pour la personne a toujours été, même si nous nous en défendons, une manière de justifier le bien-fondé de notre action qui pouvait de la sorte s’appuyer sur une légitimité devenue avec le temps scientifique et médicale, argumentée parce qu’objectivée. Soignant, éduquant, psychologisant, dirigeant, nous avions besoin de ce savoir pour savoir-faire, idéalement savoir- être. Pour autant, si cela a donné des résultats dans le mieux-être, mieux se sentir et mieux se comporter des personnes que nous accompagnons, cela a pu parfois créer des malentendus, voire dans des cas plus rares des effets toxiques. Pour le moins, nous avons mis un temps certain, appuyé par une évolution des lois et principalement celle dite de 2002-2, à prendre en considération les aspirations et les désirs de la personne accompagnée.